Biblio: Octobon (1937) n°U4 ; Beltrán et al. (1967) n°66 ; Pailhaugue (1982) n°64 ; Gailli et al. (1984) n°61.
En longeant la paroi gauche vers la sortie de la Salle Terminale, on rencontre à proximité immédiate de la paroi, une gravure sur le sol représentant une patte fine qui pourrait appartenir à un cervidé ou un capriné (plus vraisemblablement le premier en raison de la finesse de la cuisse).
Pour décrire cette patte, il ne reste aujourd'hui que les clichés anciens, puisqu'elle fut entièrement détruite par un vandale avant 1966 (cf. pl. LXXIII in Beltrán et al., 1966). Nous disposons d'une photographie de Mandement (dans la coll. R. Octobon, cliché ci-dessus) sur lequel elle présente un état de conservation presque parfait et d'un cliché R. Robert qui montre déjà certains dégâts.
Cette figure cadrée entre la paroi et une fissure perpendiculaire à celle-ci n'a jamais dû être complète. Il s'agit d'une patte isolée comme on en connaît de nombreux exemples dans l'art mobilier. Une « ligne de ventre », visible aujourd'hui et qui présente une étrange ballonnement, est d'origine douteuse.